Voici 2 exemples de prise de conscience.
Le premier, signé Paul Jorion, est lié à l’économie actuelle, et je l’appelle “L’Europe de l’Est s’éveille à la crise”.
Le deuxième est consacré au marché immobilier actuel. Je ne peux m’empêcher d’avoir quelques doutes sur la véracité pleine et entière du témoignage, mais la n’est pas la question. C’est la démarche décrite et le délai de la prise de conscience qui sont intéressants : “Il m’a fallu trois semaines –trois pleines semaines- pour réaliser pleinement la portée de vos réflexions sur l’achat immobilier” (scrollez tout en bas de la page).
Une prise de conscience, c’est comme un changement d’orbite : ça requiert du temps, une impulsion initiale, de l’énergie entretenue, et l’état d’arrivée est sensiblement différent de l’initial.
Dave Droar résume très bien l’origine de cet état pensé de conscience, par opposition à un état passif :
This is an inevitable consequence of consciousness. A being with a mind, conscious of itself and its existence, experiencing a reality, needs to organise the data that it receives from its senses. Simply observing and recording does not allow for consciousness. It is what we do with that information that allows us to think. In order to process and store the vast amount of information received, the human brain attempts to identify patterns in the data; looking for the patterns behind what is experienced. This is asking questions of the sensory information, and requires reasoning. By definition a conscious mind seeks to know. Knowing something requires more than just data, but intelligence or reasoning applied to that data. To attempt to obtain knowledge we must therefore question the data our mind receives; thus, consciousness questions.