En hommage pour les 30 ans de la disparition de D. Balavoine, librement inspiré par l'émouvant "Tous les cris les S.O.S." (in les disques "l'Aziza", 1985 et "Sauver l'Amour", 1986).
*Tous les cris les consciences S.O.S.iales*
Chant hypertextuel, à l'âge d'internet.
Comme un fou va jeter à la mer
Des bouteilles vides et puis espère
Qu'on pourra lire à travers
S.O.S. écrit avec de l'air
Pour te dire que je ne suis plus seul
Je dessine à l'encre vide un geyser
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des maux qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Comprenant mieux la détresse
Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l'eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d'étoile sur les rochers
Difficile d'appeler au secours
Quand tant de drames nous oppressent
Et les larmes nouées de stress
Étouffent un peu plus les cris d'amour
De ceux qui sont dans la faiblesse
Et dans un dernier espoir
Disparaissent
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des maux qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Comprenant mieux la détresse
Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l'eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d'étoile sur les rochers
Et j'ai ramassé les bouts de verre
Tout était clair comme de l'eau
Contre le passé n'y a-t'il rien à faire
Il faudrait changer les héros
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des maux qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Comprenant mieux la détresse
Des mots que j'envoie